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emailing cold délivrabilité spam

Vos emails finissent dans les spams ? On vous livre notre recette maison

Même si on a très chaud dans le Sud, nos sudistes savent maitriser à la perfection l’art du « Cold emailing ». Et comme on croise (trop) souvent des clients frustrés par l’efficacité de leurs campagnes de prospection, on s’est dit qu’on allait vous partager notre recette complète pour sortir de cette impasse et obtenir des résultats à la hauteur de vos attentes !

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Des KPI décevantes sur vos cold emails ?
Vous n’êtes pas seuls !

Si ça peut vous rassurer, la plupart des entreprises peinent à obtenir des résultats satisfaisants quand il s’agit de prospection à froid. Même si on note des améliorations dans le temps, les statistiques font encore grise mine :

Les taux d’ouverture oscillent entre 15 et 30%
Les taux de réponse moyens : 2%

Maintenant, imaginez que vos taux d’ouverture puissent flirter avec les 100% et que vos taux de réponse fassent un bon magique en passant sur un score à 2 chiffres : 30/40% !

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Maintenant qu’on a planté le décor, et que vous a mis l’eau à la bouche, on va passer en cuisine pour vous montrer en détail la recette Vu du Web. Vous pouvez enfiler le tablier, ça démarre maintenant !

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Pour un cold email aux petits oignons,
Assure toi d’avoir les bons ingrédients !

Avant de se lancer dans le grand bain de la technique, mieux vaut se préparer comme si on préparait ses vacances : on réunit tous les éléments nécessaires pour avoir un séjour réussi, et ça vaut aussi pour les campagnes de Cold Emailing !

C’est comme pour partir en vacances : on ne part pas sans avoir vérifié la météo (histoire de pas se retrouver coincé sous la pluie), sans avoir réservé son hébergement (histoire de pas se retrouver à la belle étoile) et sans avoir fait sa valise (histoire de pas oublier son maillot de bain).

Pour les campagnes de Cold Emailing, c’est pareil : Il vaut mieux avoir une liste d’éléments indispensables en tête, afin de s’assurer que tout est en ordre avant de se jeter à l’eau. Et oui, ça peut paraitre évident, mais Il vaut mieux être sûr de bien avoir tout en tête, histoire de faire les choses comme il faut !

On va donc t’apprendre à :

  • 👉 Comprendre ton marché et les besoins de tes futurs clients
  • 👉 Réaliser un ciblage de qualité
  • 👉 Segmenter intelligemment tes bases de données
  • 👉 Définir ton positionnement, ton univers et la tonalité que tu souhaites avoir
  • 👉 Mettre en valeur ta promesse de marque et tes propositions de valeur
  • 👉 Maximiser la délivrabilité de tes emails pour éviter de « pisser dans un violon »
  • 👉 Gérer les réponses et automatiser des relances (lead nurturing)
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Évite les mails prêts-à-l’emploi…
Chaque cold email est unique

Beaucoup d’entreprises se précipitent sur internet pour trouver des modèles d’emails « prêts à l’emploi » pour leur prospection. Mais attention, si vous voulez vraiment briller sous le soleil de la réussite, il faut sortir des sentiers battus !

Envoyer un email qui ressemble à celui de tout le monde, c’est comme aller à la plage avec un maillot de bain noir, ça passe mais ça ne va pas vous faire sortir du lot. Il faut être créatif, original, surprenant, et surtout, il faut que ça vous ressemble !

Et ça vaut pour toutes les étapes de la conception, du choix des mots à la mise en page. Si vous voulez que votre email fasse le buzz comme une bonne glace en plein mois d’août, il faut sortir le grand jeu !

Cette règle s’applique évidemment à toutes les étapes de la conception :

👉 N’achetez pas des bases de prospection. Il est préférable de se constituer une BDD qualitative et ultra ciblée.

👉 N’utilisez pas des séquences toutes faites. Là aussi, nous vous conseillons de créer vos propres workflows pour adapter les messages, le rythme, la pression publicitaire … à votre marché et vos clients.

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Avant de te jeter à l’eau…
Allume la lumière dans ta liste de contacts

Forcément, la clé c’est le ciblage mais également la synchronisation parfaite entre la promesse de votre solution / produit avec le besoin / problème résolu côté clients / prospects :

👉 Type de société (industrie, taille …)

👉 Critères professionnels (ancienneté, statut, poste occupé…)

👉 Profils ciblés (responsabilités, son quotidien, ses aspirations, ses valeurs, …)

👉 Solution Fit (en quoi mon produit ou mon service est-il intéressant pour mon interlocuteur ?)

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Et si tu dessinais tes clients ?

Pour y voir plus clair, on te conseille de travailler et de créer tes personas marketing. Cela te permettra d’avoir une approche plus visuelle de ta cible et de te forcer à te poser les BONNES questions.

La solution Hubspot a d’ailleurs mis en ligne un outil gratuit pour créer tes profils clients. Il est super facile à utiliser. Sinon il y a aussi d’autres solutions gratuites dont voici une liste non exhaustive

🔗 Xtensio

🔗 SemRush

🔗 Adobe Express

🔗 UX Pressia

🔗 Delve

🔗 UserForge

🔗 Samply

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Pour toucher vos cibles, faut savoir où pointer !

Si vous avez une base de prospects au chaud à exploiter, vous pouvez sauter cette étape. Mais depuis la mise en place des lois régulant l’utilisation des données personnelles, de nombreuses entreprises repartent de zéro et sont donc amenées à reconstruire des bases de prospection propres, en s’assurant d’enregistrer uniquement des emails professionnels pour profiter d’une législation plus souple (et ainsi éviter les ennuis avec la CNIL).

Ceci étant dit, vous avez forcément repéré tout un tas d’outils pour collecter des données prospects. Malheureusement, il y a à boire et à manger dans ces propositions. Alors pour vous aider à faire le tri, notre équipe de sudistes vous livrent une sélection 100% testée et approuvée, avec l’assurance de récupérer des listes qualitatives qui ne vous pénaliseront pas.

  • Societeinfo : Sans doute LA base la plus qualitative que vous puissiez trouver si vous communiquez en France
  • FindCustomer : Pour scrapper vous-même vos emails, et enrichir à la volée des données en couplant la solution avec d’autres outils
  • Pharow : Si vous avez des critères très spécifiques, on vous conseille d’aller voir cette solution qui permet un ciblage plus fin
  • Datananas : Une recette assez exclusive qui trouve des emails professionnels à partir des profils Linkedin, initialement rattachés à des emails personnels.

Afin de maximiser les résultats à grande échelle,
nous te conseillons de faire un premier export assez light (1000 emails / leads maximum)

Souvent, les solutions citées plus haut proposent des extensions chrome qui fonctionnent avec toutes les solutions Linkedin comme SalesNavigator.

Logique car Linkedin est aujourd’hui la plus grande base de contacts BtoB du monde, et les possibilités de ciblage sont vraiment poussées (surtout sur SalesNav, qui nécessite toutefois un abonnement payant pour pouvoir l’utiliser).

sales navigator cold email
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Pensez à nettoyer la route
pour éviter les accidents & assurer
une délivrabilité optimale

Lorsque vous envoyez une lettre, vous avez pris l’habitude de coller des timbres avant d’envoyer. Car vous avez tous compris qu’il y avait que très peu de chances pour votre lettre arrive dans les mains de votre destinataire en oubliant cette étape.

Pour vos emails, c’est la même chose. Beaucoup d’entreprises investissent énormément d’énergie et de temps pour concevoir des emails (graphisme / photos, rédaction, outils de routage…). Malheureusement, ces efforts sont inutiles si vous ne nettoyez pas vos listes de contact.

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agence-vu-du-web- marketing digital email marketing

Forcément dans le Sud, on te conseille fortement de bien chauffer ton sender

En d’autres termes, il est essentiel d’envoyer vos emails avec une adresses qui a de la bouteille !
Et si tu as déjà bien poncé l’email et bombardé un grand nombre de campagnes sur des listes de mauvaises qualité, cette étape est incontournable.


2 solutions s’offrent alors à toi :

1️⃣ Continuer à utiliser cette adresse email mais passer un petit moment pour la remettre d’équerre.

2️⃣ Partir sur une autre adresse email (idéalement une adresse ancienne qui a déjà été utilisée par le passé) et préchauffer un peu le sender à l’aide d’outils pratiques qu’on va te dévoiler juste après !

Dans les 2 cas, chauffer ton sender ton sender est toujours une bonne idée et on va t’expliquer pourquoi !

Nettoie tes pistes avec Glockapps
Mais avant tout, tu dois donc savoir si ton sender bénéficie d’une bonne réputation ou pas. Alors si tu veux que tes emails voyagent sur une autoroute super clean (et pas sur une route de campagne où tu auras le max de casse …), Vu du Web te conseille de te rendre sur GlockApps.

Cet outil va te permettre de mesurer en quelques clics la qualité de ta délivrabilité. Et pour réaliser ce test, cette solution va envoyer un grand nombre d’infos aux différents gendarmes du spamming.

En sortie, tu vas récupérer un audit complet des performances de ton email avec des recommandations très précises sur ce qu’il te faudra faire pour réparer la machine !

glockapps-délivrabilité-email- sender- audit

Et forcément, chez Vu du Web, on te recommande de suivre scrupuleusement ces recommandations, car c’est bien ça qui te permettra de sortir la tête de l’eau.

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Authentifier son domaine,
C’est LA vignette assurance de ton cold email

Pour que ton email passe tous les videurs à l’entrée des boites de réception, il est essentiel d’authentifier ton domaine d’envoi. Plus concrètement, il faut créer un sous-domaine ou CNAME dans la section DNS dans l’administration de ton domaine.

Pour y voir plus clair, il te suffit de faire une recherche dans Google en tapant le « nom de ton héberhgeur » + « ajouter CNAME » pour avoir un tuto complet qui devrait faire le job ! 🙂

Mais la plupart du temps, voici les étapes que vous devrez suivre :

  • 👉 Connexion à l’administration de votre domaine (OVH Manager ou Planet Hoster par exemple)
  • 👉 Dans la section « DNS », ajoutez une entrée de type CNAME / Nom Track ou eMail
  • 👉 Valeur / Pointez vers : custom.nomduservice.com
  • 👉 TTL : Auto

En sortie, vous allez vous retrouver avec un sous-domaine de type « email.votredomaine » ou « tracking.votredomaine« .

Attention, les nouvelles entrées DNS peuvent mettre 24 à 28h pour se propager totalement, donc pas de panique si ça ne marche pas tout de suite !

Une fois que la propagation sera effective, il faudra entrer ce sous-domaine dans la section « Custom Tracking Domain » dans ton outil de cold emailing.

Une petite astuce : si certaines messageries marquent systématiquement tes emails en spam, tu peux échanger quelques emails avec ces fournisseurs et les marquer comme « non spam » et en répondant à ces emails. En faisant ça, tu éduques petit à petit la messagerie pour qu’elle change ton statut… et que tes emails arrivent à terme dans la boite de réception principale.

Tu as deux options pour réaliser ce travail 👇

1️⃣ La première option consiste à te créer toi-même des adresses gratuites sur les principales messageries.
2️⃣ Si c’est trop chronophage pour toi, tu peux utiliser des services spécialisés de type MailWarm qui s’occuperont de ce job pour toi.

Mailwarm délivrabilité améliorer
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Offre-toi un domaine flambant neuf
pour tes campagnes de prospection

Afin d’assurer la sécurité de ton domaine officiel, nous te suggérons d’utiliser un domaine secondaire spécialement dédié au Cold Emailing. Nous te recommandons l’utilisation de Google Domains pour cette tâche, pour plusieurs raisons :

  • 👉 Les prix sont sensiblement équivalents à ceux des autres acteurs du marché.
  • 👉 Les programmations DNS seront beaucoup plus simples à réaliser qu’avec d’autres fournisseurs, contrairement à OVH qui, selon nous, les complexifie inutilement. 🤔
  • 👉 Si tu utilises GSuite par la suite, la création des expéditeurs sera vraiment facilitée par l’interface user-friendly.
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Ton domaine a besoin d’un passeport numérique
et ça se passe dans tes programmations DNS

Les programmations DNS (Domaine Name System), c’est comme la météo avant les vacances : si t’as pas de soleil, tu risques de pas passer de bonnes vacances, et si ton domaine n’est pas authentifié, ton sender risque de ne jamais voir le jour !

Il est donc crucial de configurer ces fameuses programmations avec soin, et de réaliser les trois indispensables :

  • 👉 SPF (Sender Policy Framework)
  • 👉 DKIM (DomainKeys Identified Mail)
  • 👉 DMARC (Domain-based Message Authentication, Reporting & Conformance)

Et attention, ces programmations sont complémentaires comme un bon Mojito en bord de plage : chacune a sa petite touche personnelle et son poids différent en fonction des fournisseurs.

Pour être sûr de passer de bonnes vacances (et de délivrer tes emails sans encombre), il est donc nécessaire de les mettre en place toutes les trois.

Allez, voici un petit tableau récapitulatif de leurs influences respectives, pour ne pas te perdre dans cette tempête de technologie !

Authentification SPF DKIM DMARC emailing comparatif

Ah, GSuite, c’est comme le soleil dans le ciel de tes emails professionnels. Si tu es chez eux, pas besoin de te prendre la tête avec le SPF et le DMARC, c’est déjà réglé !

Mais si tu préfères un autre fournisseur, pas de panique, ils ont normalement des tutos pour t’aider à configurer tout ça sans te faire suer comme une huître. Ah, mais y’a un hic avec GSuite, le DKIM n’est pas activé par défaut ! Pas de panique, c’est facile à activer en cliquant sur un lien. Il suffit ensuite d’attendre que ça se propage, le temps que tu mettes un peu de crème solaire et que tu te poses tranquille sur ta serviette.

Si ton domaine est chez OVH, tu pourras suivre leur super tuto et ajouter une mention dans la zone DNS. Tu devras aussi générer une clé DKIM, mais ça reste facile comme une balade sur la plage.

Petite info importante : le DMARC est devenu obligatoire pour la délivrabilité. Les algorithmes de Google ne rigolent pas avec ça, donc assure-toi d’avoir une authentification DMARC au top pour éviter les ennuis avec la CNIL. Pas de panique, c’est simple à faire, tu n’as plus qu’à suivre les instructions de ton hébergeur et le tour est joué ! ☀️

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Note pour tout de suite 📝
Vérifie que ton WHOIS est bien public !

Si tu veux que tes mails soient livrés à bon port, il est important que ton WHOIS soit correctement rempli. Pas question de faire du hors-piste ou de prendre des chemins de traverse !

Alors, petit conseil de pro, ne te cache pas derrière un anonymat mal placé et rends ton WHOIS public. Cela t’aidera à garder le cap et à éviter les tempêtes dans ta boîte mail.

Pour ce faire, direction ton Registrar, l’endroit où tu as acheté ton domaine. Il devrait y avoir une documentation pour t’aider. Et si tu veux vérifier que tout est en ordre, file sur https://who.is/ pour t’en assurer. Et hop, c’est parti pour une belle journée ensoleillée avec un WHOIS bien rempli !

Reverse DNS 🔁
Un GPS dans tes emails de prospection

Ah, le soleil ! Cette chaleur qui nous rend tous heureux, mais qui peut aussi nous causer des problèmes si on n’y fait pas attention… Et bien, il en va de même pour le Reverse DNS ! Si tu envoies des emails, il est important de t’assurer que ton IP est correctement associée à ton domaine.

Le Reverse DNS est ton ami ! C’est un peu comme les lunettes de soleil, ça te protège des mauvaises surprises. En gros, ça permet de remonter jusqu’à l’expéditeur de l’email, en utilisant l’adresse IP pour trouver le domaine associé.

Et crois-moi, c’est important ! Si ton IP ne correspond pas à ton domaine, tu risques de te faire repérer par les filtres anti-spam, qui vont te mettre directement dans leur liste noire. Et ça, c’est aussi agréable qu’un coup de soleil sur la peau !

Alors, si tu ne veux pas être bloqué, n’oublie pas de vérifier que ton Reverse DNS est bien configuré. C’est facile à faire, et ça peut t’éviter bien des ennuis !

Là encore, il faut te rapprocher de ton hébergeur afin de réaliser les configurations nécessaires. Mais rassure-toi, tu vas t’en sortir facilement !

Pour ta signature, ça ne sera pas glamour ! 🔁
Minimum syndical !

Les bonnes nouvelles sont arrivées comme un rayon de soleil ! 🌞 Tes programmations DNS sont enfin propagées. Tu vas pouvoir filer sur ta boîte de réception et commencer à t’amuser un peu avec ta signature.

Attention toutefois, car il y a des règles à respecter pour que ta signature soit validée :

  • 👉 Raconte un peu ta vie et celle de ta boîte (nom, prénom, fonction, entreprise, domaine, téléphone, adresse postale…), tout ce qui peut intéresser tes contacts.
  • 👉 Pas d’URL douteuse, il faut que ton lien soit en https:// pour être sûr que tu n’es pas un vilain pirate.
  • 👉 Oublie les mises en page folles en HTML, on n’est pas là pour épater la galerie.
  • 👉 Si tu dois faire des mises en forme, fais-en le moins possible, sinon tu risques de passer pour un frimeur.
  • 👉 Pas de photo, pas de logo, on est là pour échanger, pas pour s’envoyer des selfies !

Si tu respectes toutes ces règles, ton expéditeur sera plus en confiance et tes interlocuteurs te prendront pour un vrai pro. Rends-toi donc vite ici pour personnaliser ta signature.👇

La cerise sur le gâteau 🍒
Un avatar des familles

Ah, l’étape cruciale pour impressionner Google : ajouter un avatar à ton adresse mail ! Et oui, le géant de la recherche a besoin de voir ta tête pour être sûr que tu n’es pas un imposteur. Pas de panique, pas besoin de faire une séance photo professionnelle, une simple photo de toi fera l’affaire (non, pas celle où tu poses avec ta pizza préférée). Et surtout, pas de logo, même si tu te prends pour le roi du branding, les algorithmes sont malins et ils le verront venir à des kilomètres.

Avant de se lancer dans le grand bain du cold emailing,
Va faire les soldes chez Buzzfeed !

Pour construire ta réputation rapidement et ta crédibilité aux yeux des fournisseurs, on te conseilel de t’abonner à un max de newsletters sur Buzzfeed en validant bien les double authentifications à chaque fois !

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Tu cherches à te faire remarquer par les algorithmes, mais tu n’as pas envie de t’embêter avec des inscriptions une par une ? J’ai une solution pour toi, mon ami ! Grâce à ce code magique que tu colles dans la Console, tu peux cocher toutes les cases en un clin d’œil et montrer à Google que tu es un.e vrai.e aventurier.e du web ! ☀️ (Clic droit sur la page → Inspecter → Colle le texte → « Entrer ») pour cocher les 46 cases d’un coup :


var labels = document.getElementsByTagName('LABEL'); 

for (var i = 0; i < labels.length; i++) {

labels[i].click() 

}
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Et si tu veux vraiment impressionner les machines, n’hésite pas à t’inscrire à 10 plateformes, logiciels et réseaux sociaux différents. Plus tu varieras les inscriptions, plus tu montreras ta polyvalence et ta détermination à être reconnu.e par les algorithmes.

Et si tu as besoin d’un peu de chaleur pour te motiver, abonne-toi à la newsletter de Vu du Web pour recevoir nos conseils brûlants et réchauffer ta boîte mail 🔥

emailing spam délivrabilité

Diffuse ton sender auprès de ton réseau
en variant les fournisseurs

Brillez dans vos échanges ensoleillés : Créez des conversations durables avec des destinataires variés et des fournisseurs multiples (gmail, hotmail, outlook, yahoo…), puis laissez mijoter pendant 10 à 15 jours ☀️

Le sender peut sortir du four
et passer entre les mains du jury GlockApps

GlockApps évalue la qualité de la délivrabilité en envoyant des tests à un grand nombre d’adresses avec des paramètres serveurs variés. Cette démarche permet de réaliser un audit complet des performances de l’expéditeur, accompagné d’une série de recommandations pour les améliorer.

glockapps test spam

Mais vous pouvez aussi tester des alternatives comme GMASS ou Mail Tester qui font tout aussi bien ce boulot de contrôleur.

Comme évoqué plus haut, tu peux aussi (et c’est une très bonne idée) chauffer tes adresses automatiquement en utilisation des services spécialisés de préchauffage comme Lemwarm (de Lemlist) ou encore Mailwarm. Plus concrétement, tu configures en quelques clics le nombres d’emails que tu souhaites envoyer et recevoir et l’augmentation progressive dans le temps, et ces outils te donnent en échange un petit reporting de ces campagnes factices (inbox vs spam).

vent

L’autoroute du soleil est prête…
Il te faut maintenant un message à véhiculer !

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Rédiger un objet, c’est comme enfiler son maillot avant d’aller se baigner. Ça ne s’oublie jamais !

👉 Avant d’entamer votre travail de rédaction, il est essentiel de comprendre le rôle joué par l’objet (également appelé sujet ou thème).
👉 Son but ne consiste en aucun cas à générer des conversions. ❌
👉 Il ne s’agit en rien de susciter une envie d’achat. ❌
👉 Ce n’est pas non plus de donner de la visibilité à votre marque ou à votre site web. ❌

En réalité, il n’y a rien de moins performant que les objets utilisant une structure et une tonalité résolument marketing !

Faisons maintenant un petit exercice de réflexion.

Pour commencer, repensez aux dix derniers emails que vous avez ouverts : Quel est le rapport entre les emails envoyés par des personnes physiques (collègues, proches, partenaires) et les emails envoyés par des personnes morales (entreprises via des newsletters et autres emails transactionnels) ?

Comment étaient les objets des emails envoyés par les personnes physiques ? Il est fort probable que le rapport soit largement en faveur des personnes physiques, et que les objets des emails soient concis, abstraits et informels. Nous reviendrons sur ces points plus tard. Vous avez ouvert ces emails pour deux raisons. 🧐

Premièrement, ils vous ont été envoyés par des individus et non par des entreprises. Dans une époque où la surexposition au marketing et à la publicité est constante, vous avez développé des filtres de protection qui vous aident à trier, voire à ignorer, les sollicitations commerciales des entreprises.

Deuxièmement, les objets, courts et abstraits, ont éveillé votre curiosité et vous ont donné envie d’ouvrir l’email pour en lire le contenu. Quelle information importante se cache derrière le laconique « Suivi de dossier » ?

Cela nous amène à la fonction même (et surtout, la seule et unique) de l’objet : susciter la curiosité pour inciter la personne à ouvrir, ce qui est essentiel en vacances comme en météo changeante.

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C’est quoi un objet qui rayonne ?

Au fur et à mesure du temps, notre cerveau a développé des filtres qui lui permettent de trier rapidement les emails avec seulement quelques informations. En effet, en regardant l’expéditeur et l’objet, notre cerveau détermine instantanément l’urgence et l’importance du contenu.

Ainsi, ton email sera rangé dans l’un des trois dossiers mentaux suivants :

👉 Les emails inutiles qui ne valent pas la peine d’être lus et qui nous font perdre du temps.

👉 Les emails non urgents que l’on peut lire plus tard, mais qui finissent souvent par être ignorés.

👉 Les emails urgents qui nécessitent une lecture immédiate pour éviter les problèmes.

Il est crucial de faire partie du troisième groupe. Pour y arriver, il est important de se mettre à la place de l’expéditeur et de comprendre ses besoins.

En tant que professionnel, nous consultons notre boîte de réception pour trouver des informations utiles pour notre entreprise. Que ce soit pour travailler plus efficacement avec nos collègues, trouver de nouvelles opportunités ou éviter des problèmes potentiels.

Ainsi, pour chaque email, nous nous demandons : « Cet email peut-il m’aider dans mon travail ? Est-ce que je peux y trouver des informations importantes pour atteindre mes objectifs ou éviter des problèmes ? »

Si la réponse est oui, nous lisons l’email. Sinon, nous l’ignorons, le supprimons ou le marquons comme spam.

Pour que notre email soit lu, il faut produire un objet qui suggère l’urgence ou l’opportunité, tout en évitant les objets anxiogènes et les fausses promesses.

L’objectif est de jouer sur l’abstraction de l’objet pour laisser l’imagination de l’expéditeur faire le reste du travail. Et ainsi, instaurer une relation saine et de confiance.

Tu l’as pigé : inventer un objet d’email, c’est pas du pifomètre, c’est un boulot qui demande de réfléchir aux désirs et comportements de ton audience. Jouer subtilement avec ses peurs et ses espoirs, c’est le meilleur moyen de la pousser à lire l’email avec enthousiasme et attention.

Attention toutefois à ne pas en faire trop. Évite les objets trop voyants du genre « URGENT » qui risquent de mettre ton audience en rogne. 😠

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Les tips de Vu du Web pour rédiger un objet qui cartonne !

Allez, on se détend un peu et on oublie la vente, la persuasion et tout le tralala. Le vrai secret pour que ton e-mail soit lu et apprécié, c’est tout simplement d’écrire du bon contenu et de fournir des supports de qualité. Ça tombe sous le sens, non ?

Mais si tu veux quand même t’amuser un peu avec les mots, parlons de copywriting, l’art d’écrire pour faire agir ton lecteur comme tu le veux. Vente, inscription, don, peu importe, tout ce qui compte, c’est que le lecteur agisse. Et pour ça, il y a des techniques : les mécaniques psychologiques et les modèles de rédaction, aussi appelés frameworks.

Alors, tu connais l’AIDA ? Ce n’est pas une chanteuse pop, mais un acronyme en copywriting ! Cela signifie qu’il y a quatre étapes à suivre pour convaincre ton lecteur d’agir. Tout d’abord, il faut Attirer son Attention.

C’est comme un chat qui te demande de jouer avec lui en se frottant contre tes jambes. Ensuite, il faut créer de l’Intérêt. Imagine que tu lui lances une balle et qu’il te la ramène. Tu as son attention, mais tu dois maintenant rendre ça intéressant.

Ensuite, il faut faire naître le Désir. Peut-être qu’il adore courir après la balle, mais il en a marre de te la ramener sans arrêt. Tu dois donc lui proposer une solution pour qu’il obtienne ce qu’il veut : une friandise par exemple.

Enfin, il faut l’Amener à agir en lui demandant de te donner la balle pour avoir la récompense. Voilà, tu as compris l’AIDA ! C’est comme jouer avec un chat, mais en version marketing. 😸

Attention. Intérêt. Désir. Action. Dans cet ordre-là. Une formule magique tellement efficace qu’elle est utilisée dans la grande majorité des textes persuasifs. 🎯 Maintenant, tu as compris que l’objet d’un email est là pour captiver l’attention du destinataire et l’amener à sortir de son mode « Inbox Zéro » pour lire ton message jusqu’au bout.

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Trouver des objets qui captivent

Mais alors, pourquoi privilégier des objets courts, abstraits et sans artifice marketing ? 🤔 Tout simplement parce que le canal de la boîte mail n’est pas adapté à cela. Une boîte mail classique est composée de trois types de contenus principaux :

  • Les emails marketing sollicités (newsletters, emails transactionnels…) : il s’agit d’emails que le destinataire s’attend à recevoir et dont il connaît l’expéditeur.
  • Les emails marketing non sollicités, qui ont en général peu d’impact voire finissent bien souvent en spam, car leur réception est associée au sentiment désagréable de faire partie d’une masse de contacts agglutinés dans une liste d’envoi.
  • Les emails interpersonnels, échangés d’un individu à l’autre, qui donnent le sentiment que l’interlocuteur a pris le temps de nous écrire cet email, à nous et à nous seul.
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C’est dans cette dernière catégorie que tu cherches à te situer. Et si tu regardes bien, les emails interpersonnels sont généralement introduits par des objets encore une fois courts, abstraits et informels. Ainsi, parmi les milliers d’objets que nous avons testés au cours de ces dernières années, ceux qui fonctionnent le mieux de notre côté (pour toutes les personas et industries confondues) sont :

👉 Email 1 : « Salut »

👉 Email 2 : « Re: question »

👉 Email 3 : « Suivi »

👉 Email 4 : « (sans objet) » Chacun de ces objets génère en moyenne 70% d’ouverture. À l’échelle d’une campagne, il est donc presque inévitable d’atteindre les 80%, voire 90%, pour peu que ta délivrabilité soit optimale.

Tu l’as compris : les objets ci-dessus ne font aucune promesse. Rien n’est plus décevant que de promettre monts et merveilles pour finalement décevoir ton audience.

Évite à tout prix les objets « clickbaits » qui risquent d’induire ton audience en erreur et de briser la relation de confiance que tu cherches à construire.

La boîte de Pandore des objets d’email est infinie et il est crucial de trouver ceux qui conviennent à ton audience et au contexte de ton message.

Si tu contactes quelqu’un au sujet de son site web, tu peux tester des objets tels que « Site {nom de l’entreprise} », « Question {domaine d’activité} » ou tout simplement « Site ». Et si tu envoies une relance qui contient une vidéo à forte valeur ajoutée, tu peux simplement utiliser « vidéo » comme objet. 🙂

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Ces choix reflètent la façon dont la plupart des gens écrivent leurs emails : rapidement, simplement et sans grand intérêt. « (aucun objet) » est un exemple extrême de cette approche minimaliste.

Tu l’as compris : l’objectif est double.

👉 D’une part, attirer la curiosité du destinataire pour qu’il ouvre et lise le message.

👉 D’autre part, établir les bases d’une relation interpersonnelle plus solide, qui finira par déboucher sur une conversion.

En somme, attirer et retenir l’attention est la clé de voûte de toute stratégie d’emailing réussie.

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Allez, maintenant faut tester dans ton laboratoire !

Toutefois, mon cher, tu n’es pas sans savoir que le marketing n’aime guère les techniques copiées-collées sans subtilité. Il te faut trouver tes propres objets, ceux qui parleront suffisamment à ton public pour obtenir les meilleurs résultats.

La meilleure méthode consiste à tester un grand nombre d’objets. Les outils d’email outreach te permettront de faire des tests A/B pour tes messages.

Voici un exemple de campagne que tu peux essayer :

✉️ Email 1 – A : Intro – Linkedin / B : question freelancing

✉️ Email 2 – A : Re : question / B : suivi

✉️ Email 3 – A : lien / B : info

✉️ Email 4 – A : (aucun objet) / B : :'(

Nous avons répliqué cette même campagne 4 fois, en utilisant 8 objets différents pour chaque campagne. Nous avons ainsi testé pas moins de 32 objets différents et trouvé ceux qui ont le mieux fonctionné. ✔️

La prochaine étape consiste à compiler les meilleurs objets pour créer une super campagne, qui te garantira les taux d’ouverture les plus élevés.

⚠️ Attention cependant : ne te focalise pas uniquement sur le taux d’ouverture. Il est crucial de tenir compte également du taux de réponse.

En effet, un objet peut donner envie d’ouvrir l’email mais nuire à l’envie de répondre. Réfléchis donc bien à tes objets pour équilibrer la balance.

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Prévisions des réponses :
Analyse des résultats et déclenchement des alertes

Tu as envoyé ta campagne et maintenant, il est temps de sortir tes lunettes de météorologue pour analyser les résultats. Les taux d’ouverture, de réponse, de bounce et de désinscription sont tes indicateurs clés de performance (KPI) à scruter de près.

Pour que ta campagne soit une pluie de succès, voici les taux à viser :

📈 80% d’ouverture : pas de nuages à l’horizon ;

📈 20% de réponse ou de clics : le soleil brille sur ta prospection ;

📈 98% de mails délivrés : aucun courrier égaré en route ;

📈 < 1,5% de désinscription : pas de fuite dans les tuyaux.

Pour t’éviter de perdre du temps sous la pluie des non-réponses, automatise tes relances avec des outils comme Hubspot, Gmass, Lemlist ou Waalaxy. Crée des séquences personnalisées qui s’adaptent au comportement de tes prospects, pour ne pas te faire prendre dans la tempête des messages spam.

Et si tu veux être un véritable prévisionniste des ventes, utilise un CRM comme Hubspot, Pipedrive ou Salesforce pour suivre tes leads entrants et savoir où tu en es dans tes relances. Avec ces outils, tu pourras naviguer sur les eaux tumultueuses de la prospection comme un vrai capitaine.

Alors, prêt à devenir le maître du cold email ? Avec cette méthode, tu vas faire tomber la pluie de contrats comme un vrai boss !

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Passionné par le marketing 360° et le growth hacking, Laurent Thomas pilote la stratégie marketing et les innovations produits au sein de l’agence. En veille constante, c'est désormais l'intelligence artificielle (IA), qu'il explore avec autant de fascination que d'appréhension, pour permettre aux clients de gagner en efficacité et en performance.

Laurent THOMAS, Directeur marketing, innovation et performance
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